thomas lang
thomas langA peine quelques minutes, quinze tout au plus, le portrait de presse est déjà une question de temps.
Ensuite vient le décor, un couloir, un ascenseur, un rideau, la rue… et enfin le sujet.
Cette série a été réalisée pour le magazine iHH™ Magazine entre 2017 et aujourd’hui.
Tout le monde écoute du rap aujourd’hui. Ce n’était pas une évidence il y a 30 ans quand je suis devenu accro à cette musique.
Celles et ceux qui rappent ont des choses à dire, revendiquent des valeurs, parfois juste leurs codes postaux, ils imposent leurs règles au système.
Peu importe le nombre de followers, le portrait reste une histoire intime.
Certains arrivent à reculons, d’autres cagoulés, il y a parfois même des gardes du corps…
Mon objectif, prendre du plaisir à faire le portrait de ceux que j’écoute tous les jours.
A peine quelques minutes, quinze tout au plus, le portrait de presse est déjà une question de temps.
Ensuite vient le décor, un couloir, un ascenseur, un rideau, la rue… et enfin le sujet.
Cette série a été réalisée pour le magazine iHH™ Magazine entre 2017 et aujourd’hui.
Tout le monde écoute du rap aujourd’hui. Ce n’était pas une évidence il y a 30 ans quand je suis devenu accro à cette musique.
Celles et ceux qui rappent ont des choses à dire, revendiquent des valeurs, parfois juste leurs codes postaux, ils imposent leurs règles au système.
Peu importe le nombre de followers, le portrait reste une histoire intime.
Certains arrivent à reculons, d’autres cagoulés, il y a parfois même des gardes du corps…
Mon objectif, prendre du plaisir à faire le portrait de ceux que j’écoute tous les jours.